Journalistes, refusons de nous faire bouffer par les réseaux sociaux

En 2018, un confrère a été interpellé et placé en garde-à-vue par la police pour avoir posté sur les réseaux sociaux un communiqué, truffé de fautes, attribué au ministère de la Sécurité. Il était relatif à l’arrestation d’un opposant. La même année, un autre a été poursuivi et condamné par la justice pour avoir remis








