À Para Djicoroni en Commune IV du district de Bamako, le Groupe scolaire Mamadou Lamine Diarra est submergé. La rentrée a été interrompue. Les enseignants ont déposé les craies jusqu’à ce que les eaux soient évacuées. Les enfants du quartier pêchent dans la cour de l’établissement.
VIDÉO – Sur les cinq tanneries présentes à Bamako une seule fonctionne à plein régime. En cause: la baisse de la demande des peaux depuis six ans. « Entre 2009 et 2012, nous livrions environ 1 440 tonnes de peaux par an. Mais depuis 2013, notre production a baissé de 50%. » De nationalité chinoise,
Assa Diarra est vendeuse de poissons au bord du fleuve Niger à Badalabougou depuis une quinzaine d’années. Pilier d’une famille de sept membres, elle a de la peine à joindre les deux bouts. « Nos dépenses sont largement supérieures à nos gains », se lamente Assa Diarra. Ce mercredi matin, dans les ruelles du bidonville des
Face à la rareté des poissons dans le Niger, des Bozo, pêcheurs traditionnels maliens, recourent à la pisciculture. Une activité plus rentable mais qui nécessite d’énormes moyens. A Magnambougou, près des installations de l’Energie du Mali, le Niger s’agite. La force des écoulements, aidée par les rochers, forme des vagues hautes de quelques centimètres. Non
Aminata Bambi Konaté surnommée Wesh, jeune slameuse met à profit son art, pour dire stop à la violence basée sur le genre au Mali. Chemise rayée glissée sur un jean gris foncé, baskets noirs, physique un peu masculin, regard timide, à 19 ans Aminata Bambi Konaté est déjà une star montante au Mali. A l’Institut