Le quotidien Les Echos a annoncé dans sa parution du 11 mars, la mort d’une personne et plusieurs autres blessées à la suite d’une explosion survenue le 10 mars à l’usine Carma Mali à Bamako. Des informations contraire au bilan fourni par la police, la protection civile et l’unité en question qui confirment tous un blessé grave.
Le mardi vers 10 heures, une détonation a été entendue à Carma Mali, une usine de fabrique des cartouches de fusil à Niamakoro Commercial à l’Est près de la Cité Unicef en Commune VI de Bamako. Il s’agissait de la déflagration une machine d’amorçage en pleine production.
« La dénotation qui a eu lieu à l’intérieur de l’usine a occasionné selon nos sources sur place la mort d’un agent de sécurité et 3 blessées graves », rapporte le premier journal privé du Mali dans sa parution du 11 mars. « Ce bilan est confirmé, même si les travailleurs de la cartoucherie qui ont tous contemplé (sic) de loin ont refusé de délier la langue. En tous les cas, les sapeurs-pompiers étaient sur place et ont embarqué mort et blessées », détaille le journal dont le siège est situé à quelques mètres de la cartoucherie.
Mais d’après nos vérifications l’explosion n’a pas causé de mort d’homme. « La seule personne blessée est un machiniste. Il était en activité au moment de l’explosion. C’est la seule victime. Il n’y a pas eu de mort », précise le lieutenant Amadou Sène, responsable des opérations de secours et d’assistance à la direction régionale de la protection civile.
La police du 10e arrondissement qui a dépêché une équipe sur les lieux pour l a également confirmé le bilan qui fait état d’un blessé. « Après le constat, nous avons rendu visite au malade à l’hôpital Gabriel Touré », a confié une source policière.
Il n’y a pas eu de mort
Nous avons pu contacté la victime alité aux services des urgences de l’hôpital Gabriel Touré. À cause des lésions, il a été amputé de sa main droite par les médecins au niveau du poignet.« Ma main était dans la machine quand elle a explosé. Mes collègues sont rapidement venus à mon secours et appelé la police et la protection civile. Personne d’autre n’a été touchée. Je suis le seul blessé », a témoigné Saliou Diallo. En plus de son amputation, le machiniste de 38 ans a aussi des blessures au visage.
Contacté par nos soins, l’auteur de l’article du journal Les Echos confirme ses chiffres, sans donner plus de détails.
Maliki Diallo
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